mardi 30 janvier 2007

KAZÉ

Pourquoi quand on rencontre un mec bien, qui semble se rapprocher des valeurs et attentes que l'on a pour la gente masculine, il faut que la phrase fatidique tombe: "nous allons faire ça" suivit de "ma copine et moi"?.................................................................................................................................................................................

lundi 8 janvier 2007

Life, how life...tudututu

ça y est, me revoilà petit blogg.
Coucou lecteurs (enfin surtout lectrices on pourra dire)
Je sais que ce blogg est le sujet de mes états d’âme un peu pourris mais j’en ai besoin et je garde l’espoir d’être lue et donc paradoxalement entendue, car garder pour soi des choses, même les plus insignifiantes donne une réaction cocotte minute à laquelle je ne sait plus faire face.
Bref
Encore une fois, c’est pour me plaindre que j’écris. Il est 3h, et je suis en pleurs, des petites larmes de crocodiles qui s’apparentent à de la peur.
Je ne veux appeler personne, il est trop tard et je suis pas bourrée...

Pourtant, je sais que je n’appelle pas assez, que je ne donne pas assez de nouvelles, que je n’en prends pas assez de ceux que j’aime car quand j’appel c’est souvent pour mo que je le fais et c’est aussi pour ça que j’ose pas toujours appeler et que j’abuse de cette distance que je mets avec mes amis.

Ces amis si importants, si nécessaire, si “bol d’air” que je ne veux pas perdre.

apparté: ça y est je me suis equipée en cloppes cookies et lait, c’est partie pour un long poste “seche larme”

Voilà, je commence un tournant de ma vie. J’ai tout ce qu’il me faut, une vie super, un job, des amis donc, et de la chance d’être entourée. Et pourtant j’ai peur, peur de la solitude, de ne pas y arriver seule.
Demain, je vais enfin faire un boulo dans ce que j’aime et rémunéré, je voudrais tellement partager ma joie et mon angoisse en cet instant!
Et je voudrais pouvoir le dire à plus qu’un ami, à un être cher, particulier, que j’aime et qui m’aime. J’ai peur que mon célibat soit une “facilité”, j’ai peur qu’il ne soit pas tant choisi que ça malgres tout....
J’ai peur d’en attendre trop du prochain qui croisera ma route, J’ai peur d’attendre...
J’ai peur tout simplement, de perdre....
C’est fou cette angoisse du rien, de la chute, du desespoir, de l’incompréhension, du rattage!
Je ne sais pas exactement ce que je veux. J’ai réaliser que quoi que j’ai eu envie de faire dans la vie depuis des années, j’ai toujours réussi à le faire.
Je ne comprends pas pourquoi je me permets de me plaindre, d’être triste, de souffrir alors que j’ai tout pour moi. Sauf ça. Sauf cet amour, ce partage que finalement je redoute.....

Je commence un nouveau pan de vie et je crois que je ne l’avais tout simplement jamais vraiment envisagé. En tout cas pas seule.
Alors toujours et encore mes amis sont là, ma famille est présente , je suis une petite capricieuse je crois. Je veux tout. Est-ce vraiment un tort?

Je deteste ces histoire de bonnes résolutions de nouvelle année. Pourtant, je n’ai pas pu m’empecher de faire au moins le bilan. J’ai l’impression que je me complique les choses sans jamais rien faire à fond, j’ai l’impression que je me perd dans une volonté de ne jamais être trop adulte et de ne pas perdre mon âme d’enfant. Que du coup, je loupe des trucs, mais je sais pas quoi. Et en même temps, je ne demande rien de plus à la vie que ce qu’elle m’a deja offert.
Je suis brouillon, incompréhensible pour moi-même et je deteste ça.
Je patauge dan quelquechose qui me va, mais qui ne peut pas être parfait car j’ai toujoursbesoin de plus....
Bref, je suis dans ma vie sans avoir les deux pieds dedans, sans l’accepter totalement, sans lui faire face.....juste pour faire chier mon petit cerveau de capricieuse jamais rassasié....