jeudi 28 février 2008

Phases finales

Phase 1: Pas d'appel! Pas d'appel... Pas d'appel?
Bon ok. Si il n'appel pas, je l'appel pas. Pourquoi appelerai-t-il alors qu'il ne le faisait pas quand on était "ensemble", comment le ferai-t-il maintenant qu'on est... On est quoi au fait???

Phase 2: Faut que je sache
C'est vrai ça, on fait quoi maintenant? On (re)couche ensemble à chaque fois qu'on se voit? On s'ignore, on pourra pas eternellement s'éviter? Si?
Non!: Faut qu'on parle.

Phase 3: Je craque
Comme d'hab et comme toujours je suis faible et je fini par ecrire le texto insipide qui propose une rencontre

Phase 4: l'attente
Verif: texto transmis,
pas de réponse immédiate.....
Bon, par rapport à ses habitudes il a pas mis trop longtemps pour dire qu'il peut me caser dans son agenda dans 1 semaine....
Il peut se passer tellement de choses en 7 jours...
C'est long, et je passe par tant d'idées qui me mène toujours à une question: quesqu'on va se dire, quesqu'on a à se dire? Comment aborder un sujet qui ouvre sur trop de question et est-ce que je veux une réponse?

Phase 5: Je rêve
Attendre c'est rêver, trop de nuits pour vivre de l'irréel, de la tendresse, de l'amour....
Trop de jours pour rever de quotidien, d'amoureux, d'impossible

Phase 6: la gêne
Et puis comment le voir sans se sentir mal, comment lui dire bonjour? quel baiser j'ai envie d'avoir et envie de faire? Celui de mes rêves, non, celui de la résolution et de la réponse, non!
Il faut malgres tout en arriver là pour ne pas être gêné les prochaines fois qu'on se croisera.
Ben le hasard devance la situation genante, il en crée une. Dans ce resto, comme 2 cons, chacun de notre coté et entourés on s'est parlé a demi mot, gênés, du fait qu'on se voit dans deux jours pour parler de ça...

Phase 7: libération ou accouchement!
Un film, plein de bons sentiments, une discution à batons rompus sur tout et rien et surtout pas sur nous comme on en a la si bonne habitude et puis le retour, celui qui inflige la douloureuse, la discution qui ne sera pas à battons rompu qu'on evitera pas mais qu'on a tant de mal à avoir. Et lui qui marche et parle bas, evitant le face à face et ses yeux si bons mais si troublés, et moi qui me tait, qui me resigne à entendre ce que je sais deja mais qui avoue que je veux qu'il soit clair car je ne peux l'être, encore une fois, j'ai besoin de lui....

Phase 8: Des passionnés pas dé-passionnés mais raisonnés
A plein de demi- mots, les choses se disent enfin. Il y a de l'impossible, des actes dont on ne sera jamais capable l'un pour l'autre, un naturel et une simplicité qui n'existent pas, même avec de la volonté. ça m'a fait du mal, il en ai désolé, mais je connaissai la douleur et j'ai insisté et maintenant je pleure car je reve de l'etreindre, car la raison fait qu'il ne faut plus que je le voi, parceque la passion ne fait pas tout

Tout s'apaise, la messe est dite, les langues se delient et on se dit que c'est con mais c'est mieux, je pleure, je l'aime, je ne lui dirais jamais car ça ne sert à rien et que ça ne resoudra pas notre incapacité à être ou ne pas être ensemble. C'est con, c'est tout

phase terminale: J-L Aubert l'a ecrit mieux que moi
Voilà, c'est fini
On a tant ressassé les mêmes théories
On a tellement tiré chacun de notre côté
Que voilà, c'est fini
Trouve un autre rocher petite huître perlée
Ne laisse pas trop couler de temps sous ton p'tit nez
Car c'est fini...hum, c'est fini

Voilà, c'est fini
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour et fais gaffe à l'amour
Voilà, c'est fini
Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais
Peut-être après-demain je te retrouverai
Car c'est fini...hum, c'est fini

J'ai fini par me dire qu'on éviterait le pire
Qu'il fallait mieux couper plutôt que déchirer
J'ai fini par me dire que p't'être on va guérir
Et que même si c'est non, et que même si c'est con
Tous les deux nous savons que de toute façon

Voilà, c'est fini
Ne sois jamais amère, reste toujours sincère
T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu
Voilà, c'est fini
Nos deux mains se desserrent de s'être trop serrées
La foule nous emporte chacun de nôtre côté
C'est fini...hum, c'est fini

Voilà, c'est fini
Je ne vois plus au loin que ta chevelure nuit
Même si je m'aperçois que c'est encore moi qui te suis
C'est fini...hum, c'est fini, c'est fini, c'est fini

jeudi 21 février 2008

humeur ressentie, chanson qui en dit


I’ve made up my mind,
Don’t need to think it over,
if I’m wrong I am right,
Don’t need to look no further,
This ain’t lust,
i know this is love but,

If i tell the world,
I’ll never say enough,
Cause it was not said to you,
And thats exactly what i need to do,
If i’m in love with you,

Should i give up,
Or should i just keep chasing pavements?
Even if it leads nowhere,
Or would it be a waste?
Even If i knew my place should i leave it there?
Should i give up,
Or should i just keep chasing pavements?
Even if it leads nowhere

I’d build myself up,

And fly around in circles,
Wait then as my heart drops,
and my back begins to tingle
finally could this be it

Should i give up,
Or should i just keep chasing pavements?
Even if it leads nowhere,
Or would it be a waste?
Even If i knew my place should i leave it there?
Should i give up,
Or should i just keep chasing pavements?
Even if it leads nowhere

Chasing Pavement de Adele

Et maintenant le clip (si j'arrive à le mettre en ligne):



jeudi 7 février 2008

L'épilation en hiver, question de celibataire

Prologue: Dois-je vraiment commencer en vous disant que j'ai écris le brouillon de ce post sur le carnet dessiné par Dolce&Gabbana offertavec le ELLE de la semaine dernière, et ce à 3h du mat? Évidemment! Ça donne le ton futile qui se doit....

Bon, la chose est simple: en hiver, n'étant pas 1 yéti qui peut se faire peur à soi-même, je n'ai pas forcément besoin de m'épiler. Même pas pour la piscine, personne ne remarque rien. Mais le terme en italique plus haut est essentiel à la compréhension du problème au combien existentiel posé par le titre de ce post revenu du chaos. (comment ça, je m'égare pour la 2de fois?)

Bref, posons la question autrement: Que dirais une bonne copine qui me connait bien si elle me voyait (ou me savait) m'épiler en ces temps à la fois frois, humides (hiver) et désertiques(relations)?
Réponse: Tu vas coucher avec qui ou quoi?
Et le problème est donc là: quoi ou qui de toutes façons c'est évidemment ce dans quoi je sombre dans ces conditions (Ndlr: épilée)

Seulement, les choses se posent à l'envers ce coup-ci. D'habitude, c'est "Tiens, je m'épile: signe que je vais coucher avec Untel"
Seulement là, ya pas d'Untel, ni même de Truc!
Alors, si je m'épile, ne sera-ce pas la porte ouverte à toutes les fenêtres de dérapages débiles et alcoolisés qui finissent en remords surtout quand on connaît la personne et que donc on se confond en gêne quand on se revoit vu que c'est trop con d'avoir buggé avec (il est cool et c'est just un pote)?
Un peu comme la semaine dernière où j'ai (presque pas mais juste un peu trop mais pas totalement) dérapé. Heureusement: j'étais pas épilée!

Mais si je l'avais été?

La pilosité, dernier rempart à ma frivolité alcoolique???