(comme le texte a fini par être hyper long je vous le livre en 2 parties : ça mettra du suspens et puis ça changera de d’habitude ou je mets 10000ans à écrire un nouveau post)
PARTIE 1 De l’adulterie et de ce qu’on en fait
Cette semaine, 2-3 choses m’ont amenées à réfléchir à la notion « d’être adulte » de pourquoi et de comment.
Je crois que ce qui nous oblige à l’âge adulte c’est les responsabilités, la prise en charge et la résolution à accepter un temps qui passe. Qui passe par exemple par la mort de parents, ou plus, de ses géniteurs. Ceux qui t’ont fait s’en vont, ou s’amenuisent, ceux qui t’ont construit se déconstruisent, et les rôles s’inversent entre celui qui s’occupe de l’autre, qui veille dessus. Des places sont à prendre, des chaises musicales où ce ne sont pas les chaises qui manquent mais les personnes à mettre dessus.
L’âge adulte ça peut être aussi le fait de dépasser ce qu’on ne voulait pas, pour son bien matériel en oubliant son bienêtre psychique un instant :en écrivant une lettre de menace aux Pud’hommes à son patron qui vous licencie soi-disant économiquement par exemple. C’est aussi découvrir la difficulté de se faire comprendre par l’administration, en se faisant reprendre ce qu’on t’avait donné et qui n’existe plus…en te disant de ne pas attendre d’être au chômage pour penser à ne plus y être mais en te laissant bien y être avant de penser t’aider…
Je crois que penser « impots » fait aussi partie de l’adulterie
Et pourtant, je ne savais pas comment l’exprimer mais je sais qu’en moi, il ya de l’enfance pour toujours, de la naïveté assumée et même parfois voulue pour ne pas voir la cruauté de ce monde, des Hommes, pour ne pas regarder mes propres égoïsmes.
Mon meilleur exemple est ma capacité à me mettre à pleurer quand un sentiment est trop fort, sans pouvoir maîtriser une seule larme, sans même les sentir venir. Parfois, devant son patron par exemple, c’est franchement gênant! Et pourtant, je ne veux pas le diriger, je préfère assumer que de retenir une sensation si primaire. Je veux croire que je ne perdrais jamais de cette part d’insouciance et de pureté de l’envie enfantine (si proche du besoin).
Or mon insomnie de la nuit dernière m’a permis de mettre des mots sur cette notion, de la conceptualiser puisque je ne suis pas la seule à la vivre.
Alors voilà, c’est bien mieux exprimé que je ne l’aurais jamais fait :
Cette semaine, 2-3 choses m’ont amenées à réfléchir à la notion « d’être adulte » de pourquoi et de comment.
Je crois que ce qui nous oblige à l’âge adulte c’est les responsabilités, la prise en charge et la résolution à accepter un temps qui passe. Qui passe par exemple par la mort de parents, ou plus, de ses géniteurs. Ceux qui t’ont fait s’en vont, ou s’amenuisent, ceux qui t’ont construit se déconstruisent, et les rôles s’inversent entre celui qui s’occupe de l’autre, qui veille dessus. Des places sont à prendre, des chaises musicales où ce ne sont pas les chaises qui manquent mais les personnes à mettre dessus.
L’âge adulte ça peut être aussi le fait de dépasser ce qu’on ne voulait pas, pour son bien matériel en oubliant son bienêtre psychique un instant :en écrivant une lettre de menace aux Pud’hommes à son patron qui vous licencie soi-disant économiquement par exemple. C’est aussi découvrir la difficulté de se faire comprendre par l’administration, en se faisant reprendre ce qu’on t’avait donné et qui n’existe plus…en te disant de ne pas attendre d’être au chômage pour penser à ne plus y être mais en te laissant bien y être avant de penser t’aider…
Je crois que penser « impots » fait aussi partie de l’adulterie
Et pourtant, je ne savais pas comment l’exprimer mais je sais qu’en moi, il ya de l’enfance pour toujours, de la naïveté assumée et même parfois voulue pour ne pas voir la cruauté de ce monde, des Hommes, pour ne pas regarder mes propres égoïsmes.
Mon meilleur exemple est ma capacité à me mettre à pleurer quand un sentiment est trop fort, sans pouvoir maîtriser une seule larme, sans même les sentir venir. Parfois, devant son patron par exemple, c’est franchement gênant! Et pourtant, je ne veux pas le diriger, je préfère assumer que de retenir une sensation si primaire. Je veux croire que je ne perdrais jamais de cette part d’insouciance et de pureté de l’envie enfantine (si proche du besoin).
Or mon insomnie de la nuit dernière m’a permis de mettre des mots sur cette notion, de la conceptualiser puisque je ne suis pas la seule à la vivre.
Alors voilà, c’est bien mieux exprimé que je ne l’aurais jamais fait :
À lire dans la partie 2…..
3 commentaires:
bon bah toi, en une nuit tu coneptualises mon année complète de réflexion... t'es bien plus efficace que moi : ca doit être pour ça que tu es ma coach !
ouhouh vivement la deuxieme partie pour avoir l'explication du pkoi du comment de l'adulterire et de l'instinct de survie de l'enfance. J'aime le fait que tu conceptualise que tu essaie de comprendre pour prendre du recul sur les choses et ne pas te bouffer en pleine face et en plein coeurs tes sentiments... C'est peut être ça être adulte aussi avoir une certaine conscie,ce de soi des ses emotions de ses capacités a les exprimées. Je trouve geniale ton choix completement assumé de garder vivante ta part enfantine. C'est vrai que nous (tes amis) voyons plus souvent ta part d'enfance dans la joie, ton amour du jeu, des bon mots, bref ta folie. Mais ta part d'enfance dans le doute, la peur doit être aussi grande que la première (part, ... tu suis toujours ??)
Bref, je te trouve tres adulte dans ta luicidité sur toi même. Je suis tres heureuse que tu garde ouverte la porte de la chambre de ton enfance pour nous y inviter de temps en temps même si de par cette porte sorte aussi les gros diable et les gros demons de l'emotion incontrolée (je suis clair ??)
VIVEMENT LA PARTIE 2
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